Sortie et homme en noir ...

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Indra, avait abandonné tout vêtements qui pourrait suggérer ses attaches avec le palais pour les remplacer par des vêtements de ville. Elle était allée s'acheter "Un grand Mocha, nuage de lait, renforcement chocolat + pépites et crème maison, siouplait" au "K'fé en folie" du coin. Ainsi, avec un simple jean, et une superposition de deux hauts (pourpre et vert) tout deux col V cachés par un long manteau en toile épaisse façon caban, elle ne s'était pas faite remarqué. Enfin, elle le pensait, en dehors du fait que le serveur ait bugué pendant quelques secondes lorsqu'elle s'était présenté devant lui, elle n'avait rien noté d'inhabituel, faut dire que sa commande était déjà enregistrée dans sa mémoire à peine avait-elle quitté sa chambre. Cela changeait des clients habituels qui restait une heure fasse au 150 chois environs que l'on pouvait faire ... Une fois dehors, elle était allée dans la boulangerie d'à côtéet en était ressortie vite fait bien fait avec un pain au sucre encore brûlant entre les doigts. Les senteurs des deux aliments l'enivrait et elle n'avait qu'une envie, manger !

Le pain au sucre fut sa première victime et elle sirota le café, plus que brûlant. Une fois devant le Zoo, elle avait payé son ticket et s'était installé sur le territoire des fauves sur un banc, à l'extrémité Nord du grand Parc, envahis de touriste ... et surtout d'enfants. Apparemment c'était le jur des sorties pour tous les gosses de Machikumo ou d'ailleurs puisse que l'île était réputé pour son Zoo. Indra se souviendrait toujours de sa première visite ici, elle avait bugué sur les oiseaux de Paradis et sur les trigrons blancs, et aujourd'hui ne faisait pas exeption, les grands fauves albinos la fascinait toujours ... mais il faut dire qu'elle avait une certaine familiarité avec l'albinisme ... Enfin, en dehors de trois mecs qui étaient venus lui demander si elel avait une cigarette alors qu'elle était justement en train de s'en griller une, rien de rien.

Elle avait de la chance aujourd'hui, les mômes étaient tellement abasourdies qu'ils ne la regardaient même pas et les éducateurs étaient tellement à l'affus du moindre enfants en moins que tout allait bien, enfin presque tout ...

Le pur hasard avait fait que Naoko était arrivée au Zoo. C'était en fait du à une soi disant tentative de sa tante de la mêler au monde, et aussi, sans doute de lui refroidir la tête, peut-être aussi de se venger du fait qu'elle avait gâcher une fête, en lui montrant les fruits de Mère Nature enfermés derrière de lourds barreaux, êtres si cher au cœur de l'enfant sauvage.

Aussi, elle l'avait fait emmenée au zoo avec une petite suite, dont la taille dépendait de l'importance du "client" et l'avait forcée à enfiler une robe ridicule au possible, au multiples volants et dentelles, qui de son point de vue, lui faisait ressembler à un énorme gâteau de chantilly, et de celui des autres, à une princesse bien comme il faut.

Elle avait vivement écartée une servante qui essayait de lui tendre un ombrelle, et le plus gentiment qu'elle put, congédia la suite, en les menaçant du courroux du Roi, qui aimait sa sauvage nièce comme elle était, sans fanfreluches, et qui n'approuverait pas forcément les idées de sa femme. Ils s'en étaient donc aller en grommelant. Une fois libre de ses obligations, mais toujours empêtrée dans ses kilomètres de tissus, elle s'arracha à ce lieu de supplice et de souffrance que lui infligeait la vue des animaux tristes et enfermés, savourant sa propre liberté.

Vive et rapide, elle traversa le zoo à grands pas, fendant de son pas les groupes d'élèves qui la dévisagèrent comme ils avaient dévisagé les troupes de singes savants. Une fois passée, le regard furieux et apeuré, elle regarda à sa droite. Dans une autre cage se tenaient de grands fauves blancs, qu'elle pouvait apercevoir au dessus des têtes des enfants. Fixant les animaux, elle ne vit pas la jeune femme qui les regardait également, assise sur son banc.

Toujours sans la voir, les jambes fatiguées -c'était un grand zoo tout de même-, elle s'assit à côté d'elle sur le banc -c'était aussi un grand banc, faut croire. Quand elle s'aperçut qu'il y avait quelqu'un, elle tourna la tête. Le profil de l'inconnue lui sembla familier. Oui, c'était la cavalière à l'albinos, à côté du lac !

Sans savoir quoi dire, la dentelle commençant à la gratter, elle resta silencieuse en fixant de son regard vert la jeune femme, l'éternelle lueur farouche brillant au cœur de ses pupilles.

[ça fait pas avancer grand chose _ _"]

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Et bien et bien et bien ... La jeune femme sourit à l'approche de la princesse et la laissa s'asseoir à l'autre bout d'un "grand" banc. Elle, elle allait se faire remarquer avec sa meringue géante sur le dos. La pauvre, elle avait vraiment pas de chance, et elle reconnaissait bien là le goût vestimaire de la Reine, bah la pauvre, elle jouait de malchance. Indra releva la tête, et scruta l'horizon, une silhouette noire se dressait parmi les enfants et la fixait. Elle regarda successivement la princesse puis la silhouette et l'homme, car il s'agissait visiblement d'un homme lui fit un signe de tête. Elle consulta sa montre, fit le signe 5 à deux reprises et l'homme alla s'asseoir sur un banc, près des lions.

Elle tourna la tête vers la princesse ...

" Bonjours princesse, vous avez réussit à échapper à votre garde rapprochée ? "

Elle lui fit un sourire compatissant et ne pu s'empêcher de se sortir une autre cigarette. Dans les moments comme ceux-ci (voir la suite du sujet) elle avait tendance à être stressée et la nicotine la calmait.

Naoko leva un sourcil appréciateur, accompagné d'un regard en coin pour la jeune femme, qu'elle trouvait décidément très jolie. Elle hésita un instant, se demandant s'il était bien utile de confier ce qu'elle avait sur le cœur à un inconnue. Elle céda à l'envie de faire la connaissance de la jeune femme, dont l'aura de mystère la distinguait des autres.

"A la garde rapprochée, oui... à l'horrible meringue, non..." conclut-elle avec un sourire en coin en désignant les horribles montagnes de dentelles et de rubans, puis grommela "pour ça ma tante à un gout horripilant..."

Elle jeta à nouveau un regard en coin vers la jolie brune, avant de se tourner complètement et de la dévisager de son regard vert.

"Mais vous semblez me connaître... ce qui n'est pas mon cas. à qui ai-je l'honneur ?"

Son ton n'était ni moqueur ni arrogant. Juste intrigué.
Elle fronça involontairement son nez en trompette quand la fumée atteint ses narines. Elle était hébituée à des odeurs plus subtiles et moins... agressives. Elle ajouta

'A vrai dire, votre visage ne m'est pas inconnu."

Naoko tira machinalement sur un ruban et le retira de sa robe. Elle continua avec les autres rubans avec une sorte délectation sauvage.

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" Il est vrai que cela serait troublant si mon visage ne vous disait rien ... "

Elle regarda la jeune femme avec insitance et sourit joyeusement. Elle se serait attendu à tout sauf à ça. Ainsi la princesse ne la reconnaissait pas. Voilà une chose de positif, au moins, elle semblait être ingonito, ce qui n'était pas le cas de son interlocutrice. Un jeune garçon était d'ailleurs en train de la regarder, il croisa les prunelles flamboyantes d'Indra qui lui fit un pied de nez pour finir par lui tirer la langue. le gosse l'imita et ragaillardi, il filla en direction de ses amis. La jeuen femme tout sourire jeta un coup d'oeil à l'homme en noir qui semblait s'acheter quelque chose à manger en l'attendant ... Parfait il allait l'attendre.

" Vous souvenez vous de cette magnifique journée où un jeune garçon a failli se faire battre avant un bal très important pour l'île ? Et bien c'est là que vous m'avez rencontré princesse ... "

Indra finit d'une traite son café et se leva avec la ferme intention de le jeter. Une poubelle se dressait à côté du banc. Elle s'avança passa devant la membre de la famille royale et revint s'asseoir. L'homme en noir avait tourné la tête vers elle, mais elle ne bougea pas d'un cil après cela et attendit de voir si Miss Naoko se rappelait de cette journée.

Naoko ressentit une vague de sympathie pour la jeune femme en la voyant taquiner l'enfant, et l'amuser de mimique. Ce n'était pas souvent que l'on croisait de gens aussi peu guindé et à cheval sur des convenances ridicules. Elle suivit son regard et vit l'homme en noir, et son regard flamboya. Il ne lui disait rien qui vaille.
Elle lui répondit, sans rien laisser transparaître de son anxiété.

"Bien sûr ! Le Fou de mon oncle... Et sa cavalière ! Mais cela ne me donne pas votre nom..."

Elle sourit du mieux qu'elle put, mal habituée à sourire à quelqu'un d'autre que ses cousins.

"Je m'excuse, j'essaie de ne pas me souvenir de cette journée... Ma tante m'en a rabattu les oreilles pendant plusieurs heures..."

Attendant la réponse de sa compagne, elle glissa ses mains dans son dos. Elle attrapa la cordelette qui serrait sa robe et commença à enfoncer ses ongles courts dans le nœud. Elle arrivait à peine à respirer avec cette immonde chose sur elle.

Elle sentit le nœud céder peu à peu...

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" Je suis désolée de vous contredire mais ce jeune garçon, ce Fou, n'appartient pas au Roi. Il n'appartient pas à votre oncle. Il n'appartient à personne ... enfin pour le moment. "

Elle s'était plongé dans le mutisme le plus total alors que la princesse parlait, d'alleurs elle ne savsait même pas de quoi elle parlait " le Fou de mon oncle" comme si un être humain pouvait en posséder un autre. Même si Indra avait conscience de n'être qu'un pion sur l'échéquier, on ne disait jamais d'elle qu'elle appartenait au Roi, elle lui avait proposé ses services, du même que le Fou ! Il s'était proposé ! On l'avait accepté ! Point Barre ! Indra se sentit prendre feu, mais n'ajouta rien, c'était innutile.

" Laissez moi vous aider. Je me nomme Indra Udyan. "

Elle se plaça derrière la princesse et lui retira vite fait, bien fait la cordelette et la tendit à son interlocutrice.

[ HJ : C'est court, je sais ... shame on meeeeeeee ! Crying or Very sad

]

Naoko s'arrêta de sourire quand Indra lança sa tirade sur le fou :

" Je n'ai jamais dit qu'il appartenait à qui que ce soit ! Je parlais de son "emploi". Comme j'aurais dit, excusez moi la comparaison, "l'animal du zoo", mais l'animal n'en appartient pas pour autant au Zoo ! Je me suis mal exprimée, veillez m'en excusez..."

Elle remercie d'un signe de tête Indra en récupérant sa cordelette. Comme elle portait au moins une bonne centaine, de jupon, chemise, etc. tout à fait décents, elle commença à se débattre avec sa meringue pour finir par l'enlever en se levant. Elle portait à présent un jupon reconverti en jupe et une blouse. Elle avait les joues en feu. Naoko lança

" Ne prenez pas pour une enfant gâtée sans conscience, je vous prie !"

C'était plus une demande qu'un ordre, Miss Udyan aurait été loin d'apprécier, et la lueur coutumière de sauvagerie devint plus forte dans son regard émeraude, tandis qu'elle se mettait en face de Indra.

[Pas moi qui aurait quoi que ce soit à reprocher xD]

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Voyant que la princesse se mettait en face d'elle pour lui parler, Indra se leva et la domina de tout sa hauteur ... Derrière son dos, elle serrait son poig avec force conciente que sa réaction avait été stupide, mais contente qu'au moins sur ce point, tout était clair !

" Bah ne vous en faites pas, je me suis enflammée ce n'est rien, c'est passé. SI vous voulez bien m'excuser ... Je reviens. "

Son regard s'adoucit et elle fit volte-face. L'homme en noir s'avança vers elle et elle lui fit un signe de tête. Ils parlèrent pendant une minute ou deux, pas plus et il lui tendit la main. Elle eut un peu de réticence, mais elle la serra et elle repartit s'asseoir. Calmée et totalement sereine, Indra se mit en face du banc, mais ne s'assit finalement pas. Elle s'étira, pointant ses mains haut dans le ciel et tendit ses doigts à l'extrême et enfin, dans un tonnerre de craquement interne, elle se tint à nouveau droite.

" Souhaitez-vous marcher ? "

Naoko se calma un peu, mais son expression farouche n'en quitta pas son visage pour autant. Indra lui paraissait plus que louche, ou en tout cas bien mystérieuse, et son invitation fut plus que la bienvenue pour une Princesse méfiante, mais dévorée de curiosité. Elle avait regardé le manège de l'homme en noir et de la cavalière avec un intérêt dénué de tout avis. Et un peu frissonner en entendant le concerto de la main d'Indra en craquement majeur.

"oui."

Tout ce qu'il y avait de plus sobre. Elle saisit sa robe sous son bras avec peu de distinction puis jeta un regard dégoûté aux multiples cages. Plus vite elle serait soustraite à ce spectacle, plus vite elle irait mieux.

"Mais si c'est possible, ailleurs que dans cet endroit... Je n'apprécie pas énormément ce spectacle..."

Une fois de plus l'homme voulait assoir sa supériorité sur tout en enfermant des fruits de Mère Nature en sa possession, loin de se douter que ces animaux-là n'appartiendraient jamais à son espèce, mais que c'était bien lui qui serait enfermé par cet esprit de superlatif.

Invité

Ses jointures lui faisaient un peu mal, mais Indra ne broncha pas. Avoir tenu un gobelet de Mocha brûlant entre ses doigts pendant 10 à 15 minutes ne l'avait pas aidé c'est clair, mais bon. Elle se rendit compte en croisant le regard flamboyant de Miss Shimashi, qu'elle avait été très imprudente de recevoir un homme tel que celui qui s'éloignait en sa présence. Mais à quoi bon, là résidait son travail et elle était sûre que la jeune femme se ferait discrète ou alors ... elle aurait des échos dans les jours qui suivraient et elle devrait se faire petite pendant un petit moment pas de quoi en faire un drame.

Emboitant le pas, elle prit la direction de la sortie la plus proche en la montrant préalablement à la princesse.

" Y a t-il un endroit ou une chose que vous souhaitiez faire, personnellement, tout me va. "

Indra rejeta sa tête en arrière, et attrapa sa longue chevelure. Elle la noua, en faisant un noeud avec une de ses propre mèche, en une queue de cheval haute. La jeune femme pensait exactement ce qu'elle avait dit, elle ne se sentait pas d'une humeur particulièrement enjouée, masi toute activité lui plairait, elle en était sûre. Elle avait un peu tendance à vouloir se changer les idées avec tout ça ... Ca quoi d'ailleurs ??? Ben tout, le seul point positif de sa journée, pour le moment, c'était qu'elle n'avait pas eu à dédommager l'homme en noir et que contrairement à d'habitude, elle se rabattait sur le thé et pas sur le café ... Comment le changement appelle le changement ...

* En voila un heureux caractère * songea Naoko avec ironie, qui trouvait qu'Indra avait bien de la chance de s'adapter à n'importe quel besoin.

Elle replaça sa robe façon crème chantilly sous son bras, tout en cherchant un idée -bonne de préférence... La jeune Princesse regarda d'un œil vide un enfant qui la regardait, sans doute un peu surpris d'une attitude aussi digne.
Par défi, ou par envie, elle retira ses chaussures également en abordant une grimace quand elle sentit le goudron chaud sous ses pieds...

Naoko jeta ensuite un regard vers les hauts arbres qu'elle distinguait au loin, mais au moment où elle allait proposé la forêt, une inspiration la prit soudain.

"Les champs ? Ai un besoin urgent de respirer..."

En effet, les cacahuètes et autre sucreries commercialisées dans le Zoo lui fit froncer le nez. Comme quoi, rien n'était plus pénible que l'air industrialisé, ou transformer par toute activité humaine.

[Arg, tant de retard pour un message aussi mince ! Désolééée]

Invité

Comment le changement appelle le changement ... Voilà une question tout à fait bizarre ... Le genre de question qu'Indra peut se poser quoi ..; Il n'y a rien de mieux que le changement ... Parce que celui-ci en appelle un autre et puis un autre, et le tout met du piment à la vie. Vous voyez ce que je veux dire ... Le changement est prolifique, il ne faut pas en avoir peur, parce que c'est lui qui forge le caractère de l'adulte que l'on sera, qui nous aide à nous construire une carapace pour plus tard et qui nous créé, bien à notre insu, un libre arbitre. Le libre arbitre est une chose fabuleuse, on l'a tous et passé un certain âge on en à plus conscience du tout, tant on l'utilise dans la journée. Tiens là, ces enfants qui vont au Zoo avec leurs classes, beaucoup n'ont pas encore conscience de leurs libre arbitre, mais lorsqu'ils le découvriront, soit ils en auront peur, soit ils sauront l'apprécier à sa juste valeur. Indra, elle, avait su l'apprécier et c'était chaque fois un plaisir de l'utiliser ... Un tel plaisir ...

" Les champs oui, pourquoi pas ... "

Elle se rejouissait de cette ballade, où son libre arbitre pourrait s'exprimer ou non, c'est là que réside al magie du libre arbitre, on ne saist jamais lorsqu'on va l'utiliser, mais on s'en rend compte en le disant ... Etrange non ...

" Vous avez un itinéraire et un moyen de locomotion préféré ou pas ? "

Joyeuse, Indra se voyait déjà dans divers véhicule ou à pied flanait dna les rues en allant aux Champs ... Mais quelque chose d'autre était tout à faire possible et elle se sentait tellemet libre que tout lui conviendrait ...

[ Prolongerai-je cette vaste question philosophique ?]

Le changement, Naoko savait parfaitement de quoi il s'agissait. Elle avait connu le changement. Le changement profond et psychologique sous le poids de la culpabilité, ou du chagrin, qui entraîne alors bien d'autres changements : celui d'amis, de société, de paysage intérieur, d'opinion... Le Changement que procurait la conscience de la différence. Avec une impression étrange elle s'était toujours senti apatride, sa peau trop foncé et ses yeux trop bridés pour être européenne, ou être supposé comme telle, et ses yeux trop verts pour paraître asiatique... Mais la Princesse connaissait aussi le changement spatiale, celui qui amène au changement de culture. Elle avait vécue l'Allemagne, l'aimant ou la détestant tour à tour, elle connaissait les habitudes germaniques sur le bout des doigts. Puis venait le Japon, Machikumo, un endroit différent, une culture déroutante.

Cela lui avait il créé un libre arbitre ? Sans doute, mais trop éloigné de l'opinion générale pour qu'il soit respecté ou utile, dans les grandes questions plus importante que... celle le choix d'un moyen de transport ?

" Je vous laisse choisir, chacun son tour !... En tout cas tout sauf le cheval, je n'ai pas votre élégance ou votre expérience !"

Elle montra du pouce l'homme en noir

"Votre ami nous accompagne ?"

» Sortie vers l'inconnu